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Une solution complète, flexible et parfaitement adaptée

aux enjeux actuels

Amis et amies journalistes, vous trouverez ici quelques ressources intéressantes pour vous aider à rédiger vos articles.

Ayant été moi-même freelance pendant 15 ans, j’ai à cœur de vous faciliter la vie…

Brainhack 10 – 7500e génération

7500e génération d’homo sapiens

Nous sommes tous des homo sapiens, et nous avons besoin de reconnaissance. Vieux réflexe de survie hérités de nos lointains ancêtres des cavernes… la coopération, la communication demande qu’on reconnaisse l’autre comme étant un autre être humain qui a une valeur sur laquelle on peut compter… pour survivre (ce n’est pas un jeu)

Chaque Brainhack contient un outil, une astuce pour reprendre concrètement les commandes en moins de trois minutes. Parce que notre cerveau ne nous facilite pas la vie, et que c’est à nous de reprendre consciemment les commandes…

Des trucs pour vivre mieux

Parfois, un ami nous dit une phrase que nous n’oublions jamais. Sans le savoir, il vient de changer notre vie. J’espère semer des graines qui germeront. Des astuces qui vous illumineront la vie, petit à petit, un peu plus chaque semaine…

La soif de reconnaissance…

Nous avons tous soif de reconnaissance. Nous avons tous besoin de notre « dose » de reconnaissance quotidienne pour être désaltérés… Cette dose passe par des interactions « vraies », en dur, en réel, en « live ». Depuis 200 000 ans. Alors, les inventions des 70 dernières années ne pèsent que peu de poids face à ce besoin essentiel.

C’est pour cela que tous les réseaux sociaux du monde ne nous donneront jamais la « dose » dont nous avons besoin…

C’est l’objet de ce brainhack…

En attendant l’article qui l’accompagne, je vous invite à profiter dès maintenant de la reconnaissance que vous obtienez dans le « réel ».

C’est tout le bien que je vous/me souhaite !
À bientôt,
Patrick

Brainhack 08 – Jouons avec nos peurs

Jouons avec nos peurs

Parfois, nous jouons à nous faire peur. A Halloween, par exemple. Ou quand on fait on tour de montagnes russes, quand on regarde un film d’horreur, quand on saute dans le vide… Et ça produit des sensations agréables. Bizarre, non ? Parce que ces mêmes sensations nous semblent désagréables à d’autres moments où nos peurs jouent avec nous!

Chaque Brainhack contient un outil, une astuce pour reprendre concrètement les commandes en moins de trois minutes. Parce que notre cerveau ne nous facilite pas la vie, et que c’est à nous de reprendre consciemment les commandes…

Des trucs pour vivre mieux

Parfois, un ami nous dit une phrase que nous n’oublions jamais. Sans le savoir, il vient de changer notre vie. J’espère semer des graines qui germeront. Des astuces qui vous illumineront la vie, petit à petit, un peu plus chaque semaine…

Pour jouer avec nos peurs, faisons confiance à la nature…

Nous sommes naturellement équipés d’émotions qui s’imbriquent dans les situations que nous vivons. La peur, par exemple. Elles ont une utilité. Le rôle de la peur, c’est de nous protéger des menaces. Et nous disposons d’un indicateur qui annonce son apparition. C’est le stress. Alors, moi, je dis : « Merci, mon stress ».

C’est l’objet de ce brainhack…

En attendant l’article qui accompagne cette nouvelle astuce, apprenez à vous écouter, et à jouer avec vos peurs !

C’est tout le bien que je vous/me souhaite !
À bientôt,
Patrick

Brainhack 07 – Je vise ce que je veux

Brainhack, je vise ce que je veux

Notre cerveau a pris la fâcheuse habitude de mettre en avant ce que nous ne voulons pas (ça, c’est l’effet Grumph, voir Brainhack 02), même si ce n’est pas toujours propice à notre épanouissement! C’est que ça focalise notre attention sur des choses que nous préférerions voir disparaître… au détriment de celles dont nous aimerions qu’elles se produisent… Dommage!

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Des trucs pour vivre mieux

Parfois, un ami nous dit une phrase que nous n’oublions jamais. Sans le savoir, il vient de changer notre vie. J’espère semer des graines qui germeront. Des astuces qui vous illumineront la vie, petit à petit, un peu plus chaque semaine…

Quand on définit un objectif, il importe de dire ce que nous voulons

Quand notre énergie se focalise sur ce que nous ne voulons plus, nous renforçons les « chances » que ça arrive. Donc, nous ne parvenons pas à changer. Et si nous faisions différemment?

C’est l’objet de ce brainhack…

En attendant l’article qui accompagne cette nouvelle astuce, définissez avec précision ce qui vous plaît, vous attire, vous démange !

C’est tout le bien que je vous/me souhaite !
À bientôt,
Patrick

Brainhack 06 – Maintenant, j’ose!

Brainhack, maintenant, j’ose

Notre cerveau a l’art de nous cantonner dans nos peurs, même si ce n’est pas toujours propice à notre épanouissement! Et franchement c’est dommage, parce que nous n’osons pas faire des chose qui, pourtant, nous plaisent! Cette semaine, voyons pourquoi passer à l’action…

Chaque Brainhack contient un outil, une astuce pour reprendre concrètement les commandes en moins de trois minutes. Parce que notre cerveau ne nous facilite pas la vie, et que c’est à nous de reprendre consciemment les commandes…

Des trucs pour vivre mieux

Parfois, un ami nous dit une phrase que nous n’oublions jamais. Sans le savoir, il vient de changer notre vie. J’espère semer des graines qui germeront. Des astuces qui vous illumineront la vie, petit à petit, un peu plus chaque semaine…

Oser ou ne pas oser, c’est chou vert et vert chou, au final

Souvent, nous n’osons pas faire quelque chose qui nous tente parce qu’il y a un risque. Et on se dit que « ne pas faire » n’en présente aucun, de risque. Mais, en êtes-vous si sûr? Et si, derrière l’action de ne pas agir, il y avait aussi un risque, lequel serait-ce?

C’est l’objet de ce brainhack…

En attendant l’article qui accompagne cette nouvelle astuce, osez faire ce qui vous plaît, vous attire, vous démange !

C’est tout le bien que je vous/me souhaite !
À bientôt,
Patrick

Brainhack 05 – J’apprivoise mes pensées négatives

Brainhack, comment apprivoiser ses pensées négatives

Notre cerveau a l’art de générer des pensées, même si elles ne sont pas toujours utiles à notre épanouissement! Nous ne sommes pas pour autant obligés de leur obéir! Cette semaine, voyons comment réduire leur impact sur nous…

Chaque Brainhack contient un outil, une astuce pour reprendre concrètement les commandes en moins de trois minutes. Parce que notre cerveau ne nous facilite pas la vie, et que c’est à nous de reprendre consciemment les commandes…

Des trucs pour vivre mieux

Parfois, un ami nous dit une phrase que nous n’oublions jamais. Sans le savoir, il vient de changer notre vie. J’espère semer des graines qui germeront. Des astuces qui vous illumineront la vie, petit à petit, un peu plus chaque semaine…

Merci, chère pensée négative

Si nous pensons que nous n’y arriverons pas, ou que nous sommes nuls, ou que ça ne marchera pas, nous créons notre propre réalité… et n’y arrivons pas, restons nuls ou condamnés à ce que ça ne marche pas… Et si nous agissions différemment? C’est l’objet de ce brainhack…

En attendant, refusez dès aujourd’hui de vous laisser limiter par vos pensées à vous !

C’est tout le bien que je vous/me souhaite !
À bientôt,
Patrick

J’aime mes peurs : 3 conseils essentiels pour apprivoiser appréhension, panique et angoisse…

Crainte, trac, effroi, angoisse, panique, terreur, frisson, anxiété, appréhension… Quelle forme de peur vous touche le plus ? Je mets ma main à couper que vous saisissez aussi bien que moi les différences, parfois subtiles, existant entre chacune de ces manifestations de la peur dans nos vies. Parce que, que nous le voulions ou non, nous les avons toutes rencontrées et les croisons parfois au quotidien… Pour autant que je sache, c’est rarement pour le plaisir. Mais qu’en faisons-nous vraiment ?

Le Petit Robert définit la peur comme : « un phénomène psychologique à caractère affectif marqué, qui accompagne la prise de conscience d’un danger réel ou imaginaire, d’une menace ». La plupart du temps, l’apparition de la peur entraîne une réaction d’évitement. Chacun son style, mais la plupart tentera de s’y soustraire ou de la fuir, tandis que d’autres resteront paralysés face à la menace ou que d’autres encore l’affronteront en mode : « ça passe ou ça casse ». Tous auront réagi face à la peur. Mais combien d’entre eux auront eu la présence d’esprit, le sang-froid, l’audace d’aller voir ce qu’elle cache ? Car, le plus souvent, nos peurs ne sont plus reliées à des dangers réels pour notre survie… Alors, qui osera traverser l’écran de fumée de la peur pour accéder au mécanisme qu’elle verrouille, à la croyance limitante qu’elle fixe, à la zone de développement qu’elle nous empêche d’atteindre ?

Petit détour chez les Audacieux

Certaines tribus étranges en ont fait leur spécialité, comme la faction des « Audacieux » dans l’univers de « Divergentes ». Si vous avez des ados à la maison, vous avez certainement entendu parler de cette saga reposant sur une société divisée en cinq factions : les « Erudits », les « Fraternels », les « Sincères », les « Altruistes » et les « Audacieux ». Chaque faction est composée de membres enrôlés en fonction de leur personnalité. Et l’unité de chaque faction est intimement liée au nom qu’elle porte : « Chez les Audacieux, le courage est la forme la plus haute de sagesse. La reconnaissance que la vie peut et devrait être vécue sans peur »*. Aussi chaque aspirant est-il amené à passer une épreuve lui assurant, ou non, sa place dans la faction. Chez les audacieux, le principe est simple : « Tu connais l’expression ‘affronter ses peurs’ ? Ici, on l’applique au pied de la lettre. La simulation  va t’apprendre à maîtriser tes émotions dans le cadre d’une situation génératrice de peur. Outre le fait que le sérum contient un neurotransmetteur, il stimule le complexe amygdalien qui traite les émotions négatives comme la peur ; et il induit une hallucination. L’hallucination se poursuit jusqu’à ce que tu te calmes. Autrement dit jusqu’à ce que tes battements de cœur ralentissent et que tu contrôle ta respiration ».

Divergeons !

Ça semble vite dit, mais, pourtant, l’essentiel est là. La peur est une émotion. Son apparition n’est pas contrôlable. Elle avertit l’organisme d’un danger et le prépare à y réagir. Le corps se met en état d’alerte, prêt à agir, et l’attention se fixe sur cette menace. Rien de tel pour réagir de manière appropriée. Petit détail, mais qui n’est pas sans importance, la peur se focalise sur l’avenir : elle appréhende le danger avant qu’il ne se produise. C’est là sa force, mais c’est également sa faiblesse. Parce que nous pouvons passer notre vie à nous faire peur sans qu’il y ait réellement un danger. Nous pouvons imaginer que le pire nous arrive… sans que cela ne se produise jamais. L’inquiétude peut nous ronger de manière telle que nous ne sommes plus en mesure d’agir. Et là, la peur ne remplit plus sa fonction. Bien que l’apparition de la peur ne soit pas contrôlable, ce que nous en faisons l’est. Et il y a, certainement, moyen de mieux bénéficier de cette formidable énergie.

Merci ma peur

Qui n’a jamais eu le trac avant de devoir parler en public ? Qui n’a pas peur de dire ‘non’, surtout à quelqu’un qui représente l’autorité ? Qui n’a jamais eu peur d’échouer ? Qui n’a jamais ressenti un petit point d’appréhension à l’idée d’exprimer le fond de sa pensée ? Et demander quelque chose à quelqu’un, faire valoir vos droits, affirmer votre valeur, dire tout haut vos cinq principales qualités, c’est facile, pour vous ? Ces peurs-là sont facultatives. Elles ne nous prémunissent pas d’un danger réel, mais bien d’un danger imaginaire. Ou, plutôt, d’un danger que nous avons ressenti étant enfant et qui est resté avec le temps. Elles sont devenues automatiques. Elles ne sont plus nécessairement aussi utiles qu’auparavant. Rien n’empêche de leur dire « au revoir » et de les observer avec un regard neuf. Nous ne sommes pas prisonniers de nos peurs. Soyons audacieux. Traversons le mince écran de fumée qu’elles représentent. Nous découvrirons, pas à pas, un nouvel univers enthousiasmant. Comme disait Quatre : « Le but n’est pas de se débarrasser de toutes ses peurs. C’est une illusion. Le but est de les contrôler, d’apprendre à ne plus les subir »*. Et puis, l’audace, c’est comme un muscle : plus on l’entraîne, plus c’est facile.

Appliquez au quotidien les trois conseils suivants, et dites m’en des nouvelles. Parce que même si cela semble aussi insurmontable que gravir l’Everest, ces quelques petits pas pourraient, franchement, vous changer la vie.


Trois conseils pour dompter sa peur

Restez paisiblement au contact

La peur déclenche un évitement, un rejet. Pourtant, elle existe et nier cette existence la renforce, comme quand on essaie de s’empêcher de penser à quelque chose : cela peut devenir obsédant. Alors, restez paisiblement au contact de cette peur. Regardez-la, observez-la, apprivoisez-la. Habituez-vous à sa présence. Cela la rendra, paradoxalement, moins présente…

Aimez-la

Cette peur n’est pas apparue par hasard dans votre vie. Quand vous étiez enfants, elle vous a protégé de situations difficiles. Et elle vous protège encore, même si vous n’en avez plus besoin, puisque vous avez grandi. Alors, remerciez-la de vous avoir protégé jusqu’ici. Observez-la avec tendresse et compassion pour vous-même. Aimez-la… et écrivez-lui !

Laissez-la s’exprimer

En général, dès l’apparition du signal d’alarme, on réagit. La peur n’a pas le temps, alors, de remplir correctement sa mission et reste présente, en coulisses. Comme prête à resurgir. Laissez-la s’exprimer. Ne résistez pas et laissez-la prendre tout l’espace de votre corps, en interne. Laissez-la vous faire frissonner de la tête aux pieds. Laissez-lui remplir sa mission jusqu’au bout. Et puis, vous constaterez, après 15,20 ou 30 secondes, que la peur disparaît. Elle n’est plus là. Partie, évaporée, pfffuit ! C’est étonnant. Vous pourrez alors agir… sans peur !

* Divergente 1. Veronica Roth. Nathan. 2014.

Et vous, que ressentez-vous ? Comment avez-vous mis mes conseils en pratique ? Qu’est-ce que ça a changé dans votre vie ? Vos commentaires sont les bienvenus !

Brainhack 03 – La fin des oui mais

Brainhack, des astuces de développement personnel pour changer de vie

Combien de fois par jour dites-vous « mais » ou « oui, mais »? Genre: « J’ai envie, mais ce n’est pas le moment »… Cette petite astuce les fera disparaître, comme les moments de démotivation qui les accompagnent. A mon avis, à partager avec tous ses amis..

Chaque Brainhack contient un outil, une astuce pour reprendre concrètement les commandes en moins de trois minutes. Parce que notre cerveau ne nous facilite pas la vie, et que c’est à nous de reprendre consciemment les commandes…

Des trucs pour vivre mieux

Parfois, un ami nous dit une phrase que nous n’oublions jamais. Sans le savoir, il vient de changer notre vie. J’espère semer des graines qui germeront. Des astuces qui vous illumineront la vie, petit à petit, un peu plus chaque semaine…

La tyrannie du « mais »

Nous sommes devenus maîtres dans l’art de nous couper l »herbe sous le pied. De ne pas faire ce qui nous tente. De ne pas suivre nos envies. De ne pas laisser non plus les autres le faire. Le tout dans une boucle sans fin de démotivation… Finissons-en! Un article complétera l’information dès vendredi…

En attendant, commencez dès aujourd’hui à rebondir sur les « oui, mais » que la vie déploie sur votre chemin !

C’est tout le bien que je vous/me souhaite !
À bientôt,
Patrick

5 réflexes pour positiver (sans naïveté ni effet Bisounours)

Certains se disent que positiver, c’est faire preuve d’un optimisme béat. Nier les faits. Vivre dans un monde de Bisounours. Pas faux. Mais pas totalement vrai non plus… Combien d’entre nous se focalisent sur ce qui ne va pas sans plus penser à ce qui va bien ? Combien ne voient que ce qui leur manque sans un regard pour ce qu’ils ont déjà ? Combien sont tellement tétanisés à l’idée d’échouer que leurs réussites passées n’ont plus aucun poids ? Et s’ils « négativaient » ?

Je ne jette la pierre à personne. Difficile d’aller contre sa nature profonde. Et la nôtre, c’est d’être  attentif au danger. Au fil des générations d’homo sapiens, ceux qui ne l’ont pas été suffisamment ont tous disparu. Qu’on le veuille ou non, nous faisons partie d’une longue lignée de gens prudents… « Négativer », c’est ce qui nous pend au nez quand nous laissons notre cerveau fonctionner normalement ? Notre mission Brainhack : faire l’effort de voir les choses en positif.

Positiver, ce n’est pas…

… Fuir la réalité en se convainquant que tout va bien dans le meilleur des mondes (ça, c’est la méthode Coué). Ni regarder uniquement le positif sans tenir compte des dangers. Ni faire semblant que la douleur, le malheur, la misère n’existent pas. Non. C’est juste remettre davantage de positif dans notre vision des choses. Pour récupérer de l’énergie et mieux gérer les événements négatifs que nous traversons. Pour vivre mieux aujourd’hui et se préparer un meilleur demain. Sans naïveté.

Positiver, ce n'est pas faire semblant que ça va quand ça ne va pas...

Positiver, ce n’est pas faire semblant que ça va quand ça ne va pas…

Mes 5 réflexes pour positiver (sans naïveté ni effet Bisounours)

1/ Regarder le positif pour mieux le voir

On ne verra jamais ce qu’on ne regarde pas. Se priver des petits bonheurs du quotidien serait dommage, non ? Surtout si c’est pour ressasser les dangers, les jugements, les critiques, notre regard négatif sur nous-mêmes, ce qui nous manque, ce qu’on n’a pas… Accordez davantage d’attention aux petites choses du quotidien qui font du bien. Qu’est-ce qui vous plaît ? Qu’aimez-vous ? Quels moments positifs, joyeux, chaleureux auriez-vous envie d’amplifier ? Faites-le !

Concrètement, ça revient à prendre un moment pour savourer son café ou son thé du matin, ou pour enlacer les personnes qu’on aime. Ça consiste à s’émerveiller devant un écureuil qui grimpe à un arbre, une chanson qui nous rappelle de lointains souvenirs. A retirer le positif de tous les petits moments qui peuplent notre vie. Pas besoin d’en inventer : ouvrez juste les yeux sur ce qui est là, devant vous.

2/ Dire « non » à notre environnement négatif

Récemment, en discutant avec une de mes amies qui déprimait, nous nous sommes rendus compte qu’elle enchaînait trois journaux télévisés d’affilée. Chaque jour, elle s’exposait volontairement à deux heures de mauvaises nouvelles ! Même si on pense s’y habituer, même si on se convainc que se tenir au courant de ce qui se passe dans le monde est un devoir civique… certaines images nous marquent. Le malheur des autres nous rassure peut-être sur notre propre condition, mais il ne fait pas notre bonheur.

Concrètement, ça revient à nous éloigner des sources de mauvaises nouvelles. Les journaux télévisés sont un exemple frappant. Mais peut-être côtoyons-nous des personnes qui n’arrêtent pas de médire, de juger, de critiquer, de nous rabaisser, de se dévaloriser… Des personnes dites « toxiques » qui pompent notre belle énergie. Et si nous faisions l’effort de nous en éloigner, même un peu ?

3/ Augmenter la dose de positif (ratio : 3/1)

Notre tendance à l’insatisfaction n’est pas inéluctable. Il est possible de compenser les événements négatifs par des positifs. Barbara Fredrickson et Marcial Losada, dans leur étude « Positive affect and the complex dynamics of human flourishing » (2005) se sont penchés sur la question du ratio idéal entre les éléments positifs et négatifs de notre vie. Selon eux, si nous vivons trois choses positives pour chaque événement négatif, il est possible de vivre une vie heureuse et épanouie. Bien que leur méthode de calcul ait été remise en question, agir dans ce sens permet bien de rééquilibrer en partie notre vie.

Concrètement, ça revient à faire trois compliments pour une critique, à nous dire trois choses chouettes que nous faisons pour tout jugement négatif sur nous-mêmes, à compenser une image négative ou horrible par trois images positives, belles ou apaisantes.

4/ Devenir un optimiste réaliste

C’est quelqu’un qui voit le côté positif des choses, mais a une vision réaliste du présent et du futur probable. Selon Heidi Grant, les optimistes réalistes conservent un certain contrôle sur ce qu’ils vivent et croient que leur réussite est déterminée par leurs efforts, leur capacité à planifier et les stratégies qu’ils mettent en œuvre.

Concrètement, ça revient à se poser une question de fond : quels sont les avantages de la situation que je traverse ? Ou une variante : quels en sont les points positifs ? Qu’est-ce qu’elle peut m’apporter ? Comment puis-je grandir grâce à elle ? En quoi peut-être m’aider à atteindre mes objectifs, etc. ?

Dans le moment, on ne voit pas toujours l'accomplissement... Et pourtant !

Dans le moment, on ne voit pas toujours l’accomplissement… Et pourtant !

5/ Changer de lunettes…

Vous connaissez l’image du verre à moitié vide ou à moitié plein. Objectivement, il s’agit du même verre, rempli de la même manière. Le fait qu’il soit vu comme étant à moitié vide ou à moitié plein est une question de perception. Partons de l’hypothèse que quelqu’un d’insatisfait regarde la moitié vide avec les lunettes de la frustration, quelqu’un de satisfait la moitié pleine avec celles du plaisir. Je vous propose, l’espace de quelques instants, de changer de lunettes et de voir ce que vous avez déjà.

Quel est votre niveau de satisfaction en termes relationnels ou vestimentaires ? Êtes-vous dans la survie, le besoin, le confort ou le luxe ?

Insatisfaction relationnelleInsatisfaction vestimentaire
SurvieJe n’ai aucun ami.J’ai une seule tenue.
BesoinJ’ai un ami à qui je peux vraiment me confier.J’ai de quoi me changer pour assurer mon hygiène.
ConfortJ’ai plusieurs amis à qui je peux parler franchement, en fonction des circonstances et de leurs centres d’intérêt.J’ai assez de tenues pour être habillé de manière adéquate en fonction des circonstances (saison, travail, famille, hobby…).
IdéalJ’ai plusieurs groupes d’amis proches sur lesquels je peux m’appuyer en fonction de mes envies et besoins.J’ai une garde-robe fournie qui me laisse le choix d’harmoniser mes vêtements à mon goût.

Qu’est-ce qui vous préoccupe ? Quels sont les sujets que vous voyez chroniquement de manière négative ? Les relations sentimentales, l’argent, l’emploi…

Composez votre propre tableau (ou faites-le composer par d’autres) et situez-vous. Vous pouvez aussi me les envoyer pour que j’en fasse une compilation…

Vous retrouverez cet exercice, et plus encore, dans mon livre « Heureux si je veux », en vente sur ce site (format e-book)… ou en ligne (format papier).

 

Et si vous voulez un petit coup de pouce pour contrer votre nature, regardez ma vidéo.

Faire l’effort du positif, c’est tout le bien que je vous/me souhaite !

Pas facile tous les jours, j’en conviens… mais ça allège vraiment la vie.

À bientôt,
Patrick

Brainhack 2 – Je fais l’effort du positif

Brainhack, des astuces de développement personnel pour changer de vie

Vous connaissez l’histoire de Humph et Grumph, nos deux ancêtres homo sapiens? C’est à eux que nous devons notre point de vue positif ou négatif sur les choses… Avec ce deuxième brainhack, on perçoit mieux le combat qui se joue en nous en permanence… 

Chaque Brainhack contient un outil, une astuce pour reprendre concrètement les commandes en moins de trois minutes. Parce que notre cerveau ne nous facilite pas la vie, et que c’est à nous de reprendre consciemment les commandes…

Des trucs pour vivre mieux

Parfois, un ami nous dit une phrase que nous n’oublions jamais. Sans le savoir, il vient de changer notre vie. J’espère semer des graines qui germeront. Des astuces qui vous illumineront la vie, petit à petit, un peu plus chaque semaine…

Le négatif l’emporte

Nous pouvons réussir 100 fois quelque chose, c’est la 101e, si nous échouons, qui nous restera en mémoire. Comme on dit : « le négatif est plus programmant que le positif ». Un article complètera l’information dès vendredi…

En attendant, commencez dès aujourd’hui à voir le côté positif de tout !

C’est tout le bien que je vous/me souhaite !
À bientôt,
Patrick

Un pas vers l’inconnu : 3 conseils de base pour éviter de passer à côté de sa vie

Je rencontre, dans mes séances de coaching, un nombre significatif de personnes qui ont le sentiment de passer à côté de leur vie, en tout ou en partie. Elles se sentent comme des extraterrestres, et ça leur pèse. À chaque fois, je ne peux m’empêcher de penser au générique de cette série télé célébrissime, à cette voix off qui disait : « Espace, frontière de l’infini vers laquelle voyage notre vaisseau spatial. Sa mission de cinq ans : explorer de nouveaux mondes étranges, découvrir de nouvelles vies, d’autres civilisations et, au mépris du danger, avancer vers l’inconnu ».

À chaque épisode de Star Trek, le courageux capitaine Kirk et le rationnel Monsieur Spock étaient téléportés sur des planètes effectivement inconnues, parfois accueillantes, parfois hostiles. Leur mission les plongeait dans des aventures étonnantes où ils se découvraient, fréquemment, des ressources insoupçonnées, des forces, des qualités, des compétences qui ne demandaient qu’à s’exprimer.

Et nous, téléspectateurs fidèles, n’étions-nous pas enthousiasmés par cette perspective de découvrir ces mondes nouveaux ? Ne faisions-nous pas abstraction des décors en carton-pâte des premières années pour imaginer que William Shatner et Léonard Nimoy surmontaient vraiment leurs peurs, craintes et appréhensions pour y parvenir ? Évidemment, ce doit être plus facile de la part d’un Vulcain (race suprêmement rationnelle et non-émotionnelle, à l’inverse de nous, les humains), mais quand même : que de courage, de curiosité et d’énergie positive exposés à l’écran. Ça vous marque des générations…

Près de 50 ans après le premier épisode, nous nous sommes identifiés à une kyrielle de personnages mus par cette même quête. Et nous ? Quand nous aventurons-nous hors des limites de notre système ? De quel courage faisons-nous preuve pour traverser l’écran de nos peurs, craintes et appréhensions ?

En périphérie de la zone de confort

Nous l’avons vu la semaine passée, nous avons tendance à rester dans notre zone de confort. À ne pas prendre de risque d’en sortir, même si nous y vivons des moments pas tellement confortables. À ne pas prendre le risque d’aller vers l’inconnu, d’agir différemment, de bousculer nos habitudes.

Si nous restons dans cette zone de confort, c’est qu’un signal d’alarme se déclenche lorsque nous approchons de ce terrain « inconnu ». Ce signal, c’est généralement la peur (stress de fuite). Une peur que nous côtoyons tous : la peur de l’inconnu. Nos ancêtres des cavernes s’en méfiaient déjà. Elle représentait, pour eux, un danger de mort. Avancer dans une forêt inconnue, c’était risquer de croiser des pièges mortels, des créatures dangereuses… Sans surprise, ils n’étaient pas très preneurs. Nous avons conservé cette extraordinaire faculté de survie… Même si elle s’exprime, désormais, dans des registres où le danger de mort n’est pas présent. C’est ballot !

Le signal d’alarme se déclenche également lorsque nous percevons qu’une situation contient des éléments qui nous ont valu, à l’époque (quand nous étions enfants ou ado), une expérience douloureuse. Alors, nous avons tendance à reproduire la stratégie qui nous a évité, depuis, de revivre cette douleur. Une stratégie stockée dans notre zone de confort. C’est ainsi que si nous nous sommes faits régulièrement enguirlander, dans notre jeunesse, lorsque nous exprimions un point de vue divergent, nous avons appris à nous taire ou à demeurer évasif… Et que nous aurons tendance à nous taire ou à demeurer évasif si, aujourd’hui, quelqu’un nous demande notre avis.

De l’autre côté de la peur

Cela dit, il y a quelque chose de l’autre côté de cette peur. Il y a une « zone de développement ». C’est un endroit magique où nous observons, expérimentons, comparons … Et y prenons du plaisir. Nous l’utilisons naturellement lorsque nous devons apprendre quelque chose de nouveau, lorsque nous faisons des expériences inhabituelles, que nous rencontrons de nouvelles personnes, que nous partons en vacances dans un endroit insolite… Et ce, sans que la peur ne soit nécessairement présente.

Quand nous nous y trouvons, nous n’utilisons pas notre pilote automatique, mais un autre mode de fonctionnement mental, « adaptatif », qui dépend du néocortex préfrontal. Cette zone du cerveau est spécialisée dans la gestion de l’inconnu et du complexe. Quand nous l’utilisons, nous nous sentons plutôt sereins, curieux, ouverts, comme en témoignent les exercices de pleine conscience. Et tous les nouveaux apprentissages que nous faisons rejoignent, par la suite, la palette des comportements, compétences et connaissances stockés dans la zone de confort. En d’autres termes, utiliser la zone de développement équivaut à développer, après coup, sa zone de confort…

Le passage dans la zone de développement dépend de notre motivation. L’envie, le désir, l’audace, le courage permettent de franchir plus facilement l’écran éventuel de la peur.

C’est tout ce que je vous souhaite pour avancer vers une vie plus épanouie. Parce qu’à mon sens, c’est la clé du succès, en termes de développement personnel.


Trois conseils pour vivre pleinement sa vie

Observez vos réactions

Vous n’osez pas faire quelque chose ? Vous avez peur à l’idée de vous exprimer, de dire ‘non’, d’apparaître tel que vous êtes, de ne plus être aimé si vous faites ceci ou cela ? Prenez-en note, puis observez. Observez votre réaction face à cette peur, cette crainte, cette appréhension, ce trac. Observez-vous revenir à une stratégie que vous connaissez, comme rester évasif, dire ‘oui’, prendre une posture sérieuse ou ne pas faire ce que vous aviez envie de faire (la liste n’est pas limitative). Puis remerciez-vous d’avoir mis en place ces stratégies de survie, quelles qu’elles soient.

Ayez le courage du capitaine Kirk

Ensuite, demandez-vous si vous tenez vraiment à conserver. Dans quelle mesure sont-elles encore utiles à l’adulte que vous êtes devenu ? Dans quelle mesure vous aident-elles à mieux vivre ? Dans quelle mesure correspondent-elles à ce que vous voulez vraiment ? Si vous avez envie de changer, pensez au capitaine Kirk. Armez-vous de courage et audace, et franchissez, vaillamment, l’écran de vos peurs (nous y reviendrons la semaine prochaine).

Soyez rationnel, comme Monsieur Spock

Si vous choisissez l’audace, votre zone de confort renforcera encore les signaux d’alarme pour vous décourager. C’est normal. Elle est là pour ça et vous a protégé jusqu’ici. Mettez-vous dans la peau de Monsieur Spock et regardez ces signaux avec curiosité, comme si vous étiez un Vulcain observant des émotions humaines. Et, quand vous aurez osé, quand vous serez dans la zone de développement, repensez à ces signaux. Vous verrez à quel point ils vous semblent étrangement lointains.

Comment percevez-vous désormais vos peurs ? Quelles sont les limites de votre zone de confort ? Comment vivez-vous vos moments de « développement » ? Vos commentaires sont les bienvenus.

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